Il est possible de conjuguer nos récits nationaux

Grégoire de Tours, lecteur attentif : Merci pour la conclusion de l’article :  » Dans un chapitre intitulé « Comment trouver une histoire commune », il donne des pistes fort intéressantes qui permettraient de réorienter les programmes. …
Il faudra en conséquence faire appel chez l’élève moins à l’adhésion à un discours qu’au développement de l’esprit critique puisque les professeurs auront plus de marge dans leurs choix :
« La solution de polémiques sur l’enseignement de l’histoire se trouve peut-être dans une pensée de liberté. Liberté de choisir un exemple historique plutôt qu’un autre, un jugement positif sur un personnage ou sur ses adversaires et une pédagogie plutôt qu’une autre. Si l’idée d’un récit national unique et figé est une utopie irréalisable, la possibilité de construire plusieurs récits proches les uns des autres, réalistes, ouverts et joyeux est tout à fait réelle. C’est un travail qui commence ». (page 284)