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Le chant des Canuts

chansons historiques de France 116 Les Canuts 1894 – YouTube

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=HjNuE28K10M[/youtube]

Paroles et musique : Aristide Bruant
Créée par Aristide Bruant à l’occasion de l’exposition de Lyon en 1894. Il ne semble pas que cette chanson ait été celle des tisserands lyonnais lors de la révolte de 1831

Pour chanter Veni Creator
Il faut une chasuble d’or.
Nous en tissons pour vous, grands de l’église
Et nous, pauvres canuts, n’avons pas de chemise.
C’est nous les canuts
Nous sommes tout nus.

Pour gouverner, il faut avoir
Manteaux ou rubans en sautoir.
Nous en tissons pour vous, grands de la terre
Et nous, pauvres canuts, sans drap on nous enterre.
C’est nous les canuts
Nous sommes tout nus.

Mais notre règne arrivera
Quand votre règne finira.
Nous tisserons le linceul du vieux monde
Car on entend déjà la tempête qui gronde.
C’est nous les canuts
Nous sommes tout nus.

Source : Chansons historiques de France

Les destinées sentimentales : un film sur une famille bourgeoise

L’histoire se déroule entre 1900 et 1930, elle débute lorsque Jean Barnery, pasteur marié et père de deux filles, décide de quitter sa femme. Jean Barnery est l’un des fils, futur héritier, d’une grande lignée de fabriquants de porcelaine ( que l’on peut identifier comme étant De Haviland) implantée à Limoges. Lors d’un grand bal, il rencontre Pauline, parente de l’autre branche familiale, productrice d’une éminente marque de cognac (Boutelleau – Hine) .

À la suite de déboires avec sa première femme, il cause le départ de Pauline. Quelques années plus tard, alors que Jean a abandonné le culte et la fortune familiale, il retrouve Pauline et partent vivre en Suisse, loin de tout, dans un bonheur idyllique, mais égoïste.

Mais bientôt Jean est rappelé à la tête de l’entreprise familiale qui périclite. La première guerre mondiale transforme les êtres et l’économie : le couple semble se défaire et la fabrique de porcelaine commence à sombrer, sous le coup de la concurrence étrangère, en particulier chinoise (déjà). Jean consacre alors la fin de sa vie à l’élaboration d’un service ivoire apprécié seulement des plus fins connaisseurs et fabriqué à perte.

Source. Vidéo